Home + Love : Hove
Hove c’est une chanson élégante aux grands airs de folk américaine arrosée de pop anglaise, où les frissons du rock malaxent aussi bien le français maternel que l’anglais des disques paternels.
« Je viens du rock mais j'aime aussi la chanson française. J'aime autant Souchon que les Stones. J'aime autant les Innocents que Supergrass. C'est un peu dommage de faire un choix », sourit-il lorsqu’on en vient à ses influences.
Décider de ne pas trancher, c’est produire une musique qui colle à son image sur scène : un mariage d'énergie rock et d'élégance à la française. Une esthétique qu’il soigne avec l’œil du photographe Yann de la Calle et quelques vieilles guitares pendues à son cou (son péché mignon).
« Hove, c'est la contraction des mots anglais Home et Love. Home, pour comme à la maison. Love, pour l'envie de vivre des belles choses avec des gens que j'aime. Cela résume bien ce projet. »
Voilà 10 ans que ce sont les bienveillances d’Arno, Triggerfinger, Rover ou dernièrement Tété qui ont permis au public de partager plus d’une cinquantaine de salles, théâtre et festivals avec ce songwriter.
Hove a autoproduit l’album Backinhove en 2011 et un EP Love is a mess en 2018.
Pour ce dernier il s'est entouré des musiciens qui accompagnaient Miossec sur la tournée de l'album Ici-bas, ici même : le batteur Raphaël Chassin (Keren Ann, Hugh Coltmann, Tété) et le bassiste réalisateur Hugo Cechosz (Eiffel, la Grande Sophie, Arthur H, Tété) chez qui il a enregistré à Pantin dans son studio, l’Atelier Clandestin.
« Aller à Paris te permet de rencontrer des gens qui ouvrent des portes, pas des portes du réseau professionnel et des connexions, mais des portes artistiques », explique Hove qui a voulu des chansons à la signature cinématographique.
Six chansons d’amour comme autant de scénarii peuplés d’amants, de malfaiteurs, de danseuses, tous égarés dans des histoires rappelant les cadres de quelques grands réalisateurs qui l’ont remué. On devine rapidement son amour pour le cinéma de son enfance et de ses racines italiennes : les films de la Dernière séance, les grands espaces en cinémascope, Coppola, Scorcese, Tarantino, Leone...
Home + Love : Hove
Hove c’est une chanson élégante aux grands airs de folk américaine arrosée de pop anglaise, où les frissons du Rock malaxent aussi bien le français maternel que l’anglais des disques paternels.
« Je viens du rock mais j'aime aussi la chanson française. J'aime autant Souchon que Les Stones. J'aime autant Les Innocents que Supergrass. C'est un peu dommage de faire un choix », sourit-il lorsqu’on en vient à ses influences.
Décider de ne pas trancher, c’est produire une musique qui colle à son image sur scène : un mariage d'énergie rock et d'élégance à la française. Une esthétique qu’il soigne avec l’œil du photographe Yann de la Calle et quelques vieilles guitares pendues à son cou (son péché mignon).
« Hove, c'est la contraction des mots anglais Home et Love. Home, pour comme à la maison. Love, pour l'envie de vivre des belles choses avec des gens que j'aime. Cela résume bien ce projet. »
Voilà 10 ans que ce sont les bienveillances d’Arno, Triggerfinger, Rover ou dernièrement Tété qui ont permis au public de partager plus d’une cinquantaine de salles, théâtre et Festivals avec ce Songwriter.
Hove a autoproduit l’album Backinhove en 2011 et un EP Love is a mess en 2018.
Pour ce dernier il s'est entouré des musiciens qui accompagnaient Miossec sur la tournée de l'album Ici-bas, ici même : le batteur Raphaël Chassin (Keren Ann, Hugh Coltmann, Tété) et le bassiste réalisateur Hugo Cechosz (Eiffel, La grande Sophie, Arthur H, Tété) chez qui il a enregistré à Pantin dans son studio, l’Atelier Clandestin.
« Aller à Paris te permet de rencontrer des gens qui ouvrent des portes, pas des portes du réseau professionnel et des connexions, mais des portes artistiques », explique Hove qui a voulu des chansons à la signature cinématographique.
Six chansons d’amour comme autant de scénarii peuplés d’amants, de malfaiteurs, de danseuses, tous égarés dans des histoires rappelant les cadres de quelques grands réalisateurs qui l’ont remué. On devine rapidement son amour pour le cinéma de son enfance et de ses racines italiennes : les films de la dernière Séance, les grands espaces en Cinémascope, Coppola, Scorcese, Tarantino, Leone.